Je n’ai que des fantômeAccroché à ma carlingue comme un home sweet homeRien de virtuel seulement quelques atomesPosés comme ça au creux de ma paumeJe les regarde comme on voit une heaumeUne tâche cuivré sur les corps qu’on paume. D’un jour a l’autre seuls restent les fantômesJe n’ai que des fantômeAccroché à ma carlingue comme un home sweet homeRien de virtuel seulement quelques atomesPosés comme ça au creux de ma paumeLeurs ennemis sont une milice sans esprit qui nous proneLe retour d’un calife qui chaque jour nous paumeOu facilite l’implémentation de silice dans le désert des nos consciences atonesAlors Comment accorder sa confiance sans crocheter ses atomesLa vie est une suite d’anicroches trop précieuse, la sève du dernier ormeJe ne peux donc qu’accepter que le soir ils s'ornent Delaparuredesmonstrescommefrankensteininconscientdeleurviepourtant autonomeEux et moi sont un binôme De leur ombre je suis le gnomeAttaché à retranscrire la moindre lettre de chacune de leur vautreCelles qu’ils se prennent quand je tourne l’œil A l’abri chez moi quand eux ramasse pour les autresJe n’ai que des fantômeAccroché à ma carlingue comme un home sweet homeRien de virtuel seulement quelques atomesPosés comme ça au creux de ma paumeA chaque faux pas ma plume devient écueilUne de plus un de moins rien que le banalité du quotidien Qui rebute ou dégoûte, un zeste de sens dans un océan de rienJe n’ai que des fantômeAccroché à ma carlingue comme un home sweet homeRien de virtuel seulement quelques atomesPosés comme ça au creux de ma paumeLa vie n’est pas mot elle est acteParfois sans signification ni tactEux sont le reste avant que l’on me l’ôteLa liberté de tordre les couronnes et les fauxPour enfin donner a mes fantômes l’allure du rienEn somme la différence entre la fiction et le bien
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