Le noir est le territoire des mortsIls y parcourt le monde jusqu'à son bordPiégé par la lumière du dernier phareLeur ombre attends jusqu'au retard Ils regardent l'homme réagir trop tardComme aveuglé par une parole de fetardIl prend la nui comme l'ultime noirPersuadé qu'au delà réside la lumière et l'espoirComme on croit a la douceur d'une main dans le noirLe noir est le territoire des mortsIls y parcourt le monde jusqu'à son bordPiégé par la lumière du dernier phareLeur ombre attends jusqu'au retard Persuadé qu'un destin retors se pourfendCertains arborent le noir comme firmamentArrangeant leur erreurs a l'ignorance des gensComme on tompe le mourant un soir saignantSans autre bruit que le feu et la plainteIls teintent leurs oreilles d'un fond sonores Sans autre teinte qu'une parole par debord Comme le signe d'une tristesse feinteEt de larmes incolores Car perché sur le saintPointe un caractère sanguin Et des paroles d'ivre mortCaché sous la barbe Sans fond ni teint Le noir est le territoire des mortsIls parcourt le monde jusqu'à son bordPiégé par la lumière du phareSon ombre bascule a retard Et Le discours malsain d'être sans remordCelui là même qui séparent le noir des gens sainsEt le territoire des morts du semblable malsainFinit alors par rendre son verdict aux humainsVoici les morts, le début de la fin