Ne vois tu rien venir toujours le même mais en pireMême l’eau n’est plus pour les bébés chaque jour polluéEt ce soleil plus mordant que les loups qu’on croit dresser pour rireLa même réalité mais en pire ne voit tu rien venirLe paradis comme amas de taule pour un rêve en boisOu les aéroports finissent dans la daube mieux vaut en rireNe vois tu rien venirUne blessure comme une odeur de craméNe vois tu rien venirUn monde tout entier carbonisé Puisqu’on ne voit rien venir vendredi c’est samedi mais en pireJe préfère pleurer en fait l’économie à son faitC’est ma vie et la chute de l’empire oui ne vois tu rien venirOuais quand l’avenir pue de la gueule la réponse reste ta gueuleNe vois tu rien venirUne blessure comme une odeur de craméNe vois tu rien venirUn monde tout entier carbonisé Jusqu’au jour ou tu prends ta différence dans la gueuleAlors le seule recours reviens a un mauvais refrainQuoi ma gueule on a rien vu venirCe qui différencie les bateaux de courses et l’aquariumLe même danger sans la même sens minimumOuias ma gueule pue de trop de blanc et de psychotropeOn n’a rien vu venir alors allez hopOntournelapageetpuisyalesimagessanctionsommairepourêtreala pageL’ultime vision de la lueur depuis cette cageLa où ce qui devient barge Est de se sentir en décalageNe vois tu rien venirUne blessure comme une odeur de craméNe vois tu rien venirUn monde tout entier carbonisé Comment ne rien voir venir quand la couleur est annoncéeLe 25 décembre ne passera pas cette annéeLe père Noël n’a plus de foin a donnerA ces rênes au corps émaciésComme notre atmosphere au carbone saturéLe coucher de soleil est rougeEt les temperatures ne changent plus d’hiver a étéLe petrole a le goût du manque et de la partialitéCeux qui s’en passent gagnent plus qu’un type au diesel sur son annéeLe monde nous promet mars et des lunes toute l‘annéeA croire que nous ne sommes pas condamnéSimplement désespéré juste des solutions de plus en plus barréesComme nos enfants vivent morts nésGave par Disney ou ses affiliésIl n’y a pas de super heros iciJuste des damnés qui rêvent encore pouvoir se sauverNe vois tu rien venirUne blessure comme une odeur de craméNe vois tu rien venirUn monde tout entier carbonisé Comme la grenouille dont le fond de casserole commence a chaufferA ne rien voir venir on finit par tout oublierDe notre propre santé à la chaleur en étéPlus de printemps en somme le glas a sonnéJe n’ai rien vu venir vous pensez
La vidéo a été réalisée en HD. Merci de lui accorder quelques minutes de chargement pour la visionner sans arrêt. Merci de votre patience.