Jasmineregardaitavecdegrandsyeuxlespectacledesonpèreetdesescompèressurun terrainbleucommelecieletellenesavaitpassitoutcelaétaitvraiouleproduitdu lait de maman ou de ses bisous ou même si c’était la vie.Normal.Elle avait à peine 8 mois et ses yeux découvraient tout en même temps. Le couleurs.Les mouvements.Les visages.Le visage.Maman.- Mama- Jasmine ? Jasmine !- Mama !- Aurélien, remplace Karim. Tout de suite !- papa ?- Vite ! Karim !- Papa !Karimarrivalesyeuxrougisparlestilleulsetlachaleuretessayadereprendreson souffle avant de se pencher sur les bras de Aïsha et sa fille.Jasmineleregardaitavecunénormesourire.Unsourireàvousdéfoncerleplusdurdes cœurs. Le sien.- Jasmine ?Lagamines’éteignituninstant.Letempsdeclignerdesyeuxetdefairelamiseaupoint puis elle le délivra.- Papa !- eh bien voila une enfant bien précoce.-SalutJean.Commentva ?Jesuissûrquemafilleseraaussibrillantequevous.Peut être même plus. Regardez son regard. On dirait le vôtre avec l’espièglerie en plus.-Ohjeluisouhaitelemeilleur,vouslesavez.Etc’estcertainementpasdedevenir comme moi.- Alors vous revoilà aux affaires ?- Oui. On peut quitter Poitiers. Mais Poitiers ne vous quitte jamais.Tousdeuxéclatèrentderire.Surleterrain,lesdeuxautreslégendesfirentunepasseà Aurélienqui,nesavantpasquoifaired’autremarquale3pointsdelavictoire.Les typescommencèrentàs’engueuler.Ilenvinrentpresqueauxmains.Luis’éclipsaavecle ballon et alla rejoindre ses nouveaux amis.- Commissaire.- Oh. Vous devez être Aurélien.- C’est ça commissaire. Enchanté de vous rencontrer.-DemêmeAuréliendemême.Maintenantvousvoyezcesgars,ilsm’ontsauvélavieetvous venezdeleurfairegagnerunmatch,çanousmetàégalité.Doncmaintenantceseratuet Jean . OK ?- D’ac Jean.- Parfait.