Je me dis souventque je répète ce que disaient les mecs d avantles riches sont de plus en plus richesles pauvres de plus en plus pauvresà croire que je devient démentquand le pire semble être devantet que rien ne changepas même les prix de changequ on m’annonce la même vie mais pire qu avantle si peu de pognon que j ai ne suffit même plus pour ce qu il prétendalors je m arc boute je me tendtant de choses à faire mais pas un rond pour y prétendreje lutte de toutes mes forces pourtanten restant honnête comme on m'a appris quand j était encore tendreau loin là lumière s éteint dans un nuage de charbonet au dessus bien au-dessus rire je les entendsil n y a pas de limite à leur abjectionet je me sens seul sous le bruit de leur silence indécentparce que leur parole personne ne l entendjuste le. bruit de leur actes s entendcomme la preuve de la limite de ce que je ressensun profond désespoir face à ce que je ne peux contrôler comme le ventpourquoi se battre à présentl eau monte je le ressenset comme tout le monde j y succombeà quoi bon sauver un monde à l allure de tombema. propre tombe devrais je ainsi attendresic'estlecasautantlefairedansunebombeslesrichessontainsifaitqueseulement par la force ressenti il trembleainsi partirai je comme un romantique sans attendrepuisque c'est ainsi que ma tombe j éviterai dans l ensemble