Tu fronces les sourcils même quand on te sourit tout seul ta vie tu pourris pour maintenir l illusion que toi t es un dur tes envie de pleurer tu refoules pour être aussi sensible qu’un mur Quand tu croises les autres tu te tends comme si le pire était leur présence pas besoin de prescience pour deviner une attitude cache ton malaise comment éviter les coups sinon quand on les devance ainsi va ta vie toujours tendu pour paraître plus balèze quant a moi je souris et t évite stratégie d adaptation à la va vite a jouer au dur on finit dans le mur il y a longtemps que j ai transpercé le mien avec des larmes acides a force de pleurer les miens je te souhaiterais presque de prendre un gros pain pour mieux te remettre sur le seul chemin qui tient un lieu ou jouer les durs ne sert plus a rien sinon à s’attirer des ennuis pour rien a trop serrer les dents on finit par se les péter rien ne vaut un mot échangé pour rien une trace d’humanité a plus de force qu’une embrouille pour rien A continuer a chercher le grain de sable on ne profite pas de ce qui va bien comment ne pas souhaiter le meilleur a son prochain accusez moi d angélisme j y peux rien on ne refait pas sa nature pour un respect de vaurien alors moi je ne sais plus être dur car c est courir après un zéphyr malsain en conclusion il y a longtemps que je te regarde dans le rétroviseur pas de compassion ou d aigreur a ton égard juste la satisfaction de préférer le meilleur pour moi et les miens et de la paix dans le cœur a ton égard
Au delà du mur
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O2
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L’ANTIDOTE