Me voilà a nouveau face au microune fois de plus prêt a commettre la même conneriecomme un hamster avant la descente de sa roue, coincé tout en hautoui une fois de plus je m expose et tout le monde ritde ma déveine pourtant quelque chose fleuritau fond de moi j ai comprisqu il faut être généreux pour ce genre de foliea craindre de s élever on finit par mourir assisvoilà pourquoi je ne crains plus ma vieelle me ressemble cassée brisée a l envieje m y accroche jusqu au déniainsi divague mon esprit piégé par l ennuia trop prendre de coups je finis par aimer la pénombrede la mes yeux voit juste une ombrecelle du tas d’or qui vous fait tellement enviedes mecs aux dents si longues y ont cédé petitje préfère le donner que d y voir une sortiela convoitise est cette chose qui pourritsous le portrait de Dorian Gray tellement d hommes s y prélassentabandonnant leurs rêves de guerre lassecroyant en l argent comme a un totem ; hérésiequi plongent leurs barques pourries dans les pires avariesdès qu ils tentent de penser a autre chose que leur nidd où ils tentent de retenir leur monnaie dans un crivoilà comment plonger dans la méfiancecette paranoïa qui oblige a vouloir connaître ce que les gens pensentcomme si leur bide contenait autre chose que de la merdeet leur sourire autre chose que des emmerdesla vie n est pas une histoire de profitpas même Besoin de compter tes ami tu en as moins que ce que tu peux croireil te faudra n avoir plus rien pour que les voiret alors tu comprendras le mot généreux enfin